Un nouveau laboratoire commun de recherche à l’IPCMS

Le CNRS, l’ENS de Lyon, IFP Énergies nouvelles (IFPEN), Sorbonne Université, l’Université Claude Bernard Lyon 1 et l’Université de Strasbourg mettent en commun leurs compétences et savoir-faire pour créer CARMEN, un nouveau laboratoire commun de recherche dans le domaine de la caractérisation des matériaux pour les énergies nouvelles.

Pour plus d’informations, veuillez consulter cet article: http://www.ipcms.unistra.fr/?page_id=34343

Opération « Matériaux S3 – Phase 2 »

L’opération « Matériaux S3 – Phase 2 » est cofinancée par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Mulhouse Alsace agglomération, le Conseil départemental du Haut Rhin, la Région grand Est, l’Eurométropole de Strasbourg et l’union Européenne dans le cadre du programme Opérationnel FEDER Alsace 2014-2020.

Montant de l’aide Européenne :  467 137,40 €

Dans le cadre de l’opération «  Matériaux S3 – Phase 2 », l’IS2M a acquis un Microscope à balayage électronique, un Microscope Confocal et un Spectromètre FTIR et accessoires avec l’aide de la Région Grand Est, de Mulhouse Alsace Agglomération, du Conseil départemental du Haut Rhin et de l’union Européenne dans le cadre du programme Opérationnel FEDER Alsace 2014-2020.

Dans le cadre de l’opération «  Matériaux S3 – Phase 2 », l’ICS a acquis un Tomographe avec l’aide de la Région grand Est, de l’Eurométropole, du Ministère de l’Enseignement supérieur de la Recherche et de l’Innovation et de l’union Européenne dans le cadre du programme Opérationnel FEDER Alsace 2014-2020.

Dans le cadre de l’opération « Matériaux S3 – Phase 2 », le laboratoire ICPEES a acquis une unité pilote de tests Plateforme photo catalytique avec l’aide de l’Eurométropole et de l’union Européenne dans le cadre du programme Opérationnel FEDER Alsace 2014-2020.

Opération « Matériaux S3 – Phase 1 »

L’opération « Matériaux S3 – Phase 1 » est cofinancée par le Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Mulhouse Alsace agglomération, le Conseil départemental du Haut Rhin, la Région grand Est et l’union Européenne dans le cadre du programme Opérationnel FEDER Alsace 2014-2020.

Montant de l’aide Européenne : 332 862,60€

Dans le cadre de l’opération «  Matériaux S3 – Phase 1  », le laboratoire ICUBE a acquis un Implanteur Ionique avec l’aide du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et de l’union Européenne dans le cadre du programme Opérationnel FEDER Alsace 2014-2020.

Dans le cadre de l’opération « Matériaux S3 – Phase 1 », l’ICS a acquis un Microscope a champ proche Dimension ICON avec l’aide de la Région grand Est et de l’union Européenne dans le cadre du programme Opérationnel FEDER Alsace 2014-2020.

Dans le cadre de l’opération «  Matériaux S3 – Phase 1 », l’Institut franco-allemand de recherche pour la défense (ISL) a acquis un Microscope Nanoraman Infrarouge avec l’aide du Conseil départemental du Haut Rhin, du Ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation et de l’union Européenne dans le cadre du programme Opérationnel FEDER Alsace 2014-2020.

Mutaxio, un nouveau laboratoire commun

Mutaxio, un nouveau laboratoire commun entre SOPREMA, le CNRS et l’Université de Strasbourg

De gauche à droite : Luc Avérous, directeur de Mutaxio, Michel Mortier, Délégué général à la valorisation du CNRS, Rémy Perrin, Directeur R&D à SOPREMA, Pierre-Etienne Bindschedler, Président directeur général de SOPREMA, et Michel de Mathelin, Vice-président Valorisation et relations avec le monde socio-économique de l’Université de Strasbourg.

Mardi 19 décembre 2017, la société SOPREMA, le CNRS et l’Université de Strasbourg ont officiellement créé le laboratoire commun de recherche, Mutaxio (Mutation axée sur des matériaux biosourcés pour un bâtiment durable). Après de longues années de collaborations entre des scientifiques de la société internationale strasbourgeoise et ceux de l’équipe de Luc Avérous, professeur au sein de l’Institut de chimie et procédés pour l’énergie, l’environnement et la santé (ICPEES, CNRS/Université de Strasbourg), ce laboratoire commun de recherche marque une nouvelle étape dans le partenariat et se caractérise, notamment, par une stratégie de recherche partagée et une gouvernance commune. L’enjeu : développer des matériaux innovants issus de différentes biomasses et respectueux de l’environnement, afin de de les rendre performants pour le bâtiment en approfondissant les connaissances acquises sur ces systèmes durables.

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Congrès Matériaux à Strasbourg en novembre 2018

La conférence Matériaux 2018 aura lieu à Strasbourg du 19 au 23 novembre 2018, sous l’égide de la Fédération Française des Matériaux. Les conférences Matériaux se sont maintenant imposées comme les manifestations francophones incontournables pour tous les acteurs du monde des matériaux, académiques et industriels.

Elles stimulent rencontres et échanges, et font le point sur les dernières innovations scientifiques et techniques en matière de conception et de mise en œuvre des matériaux.

http://www.materiaux2018.fr/

Un nanomatériau délivre des médicaments sous lumière infrarouge

Les nanomatériaux trouvent de plus en plus d’applications médicales. Parfois capables de remplir plusieurs rôles à la fois, ils offrent une flexibilité essentielle au développement de traitements personnalisés. Des chercheurs de l’Institut de physique et chimie des matériaux de Strasbourg (IPCMS, CNRS/Unistra) et de l’Institut de chimie et procédés pour l’énergie, l’environnement et la santé (ICPEES, CNRS/Unistra) ont ainsi conçu une nouvelle classe de nanocomposites à base de carbone et de silice poreuse, qui relâchent sur commande des molécules antitumorales sous l’action de la lumière (proche infrarouge). Ces travaux, publiés dans la revue Advanced Functional Materials, ouvrent des possibilités pour des traitements finement contrôlés et multiples, comme l’association de la photothermie à la chimiothérapie.

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Mille-feuille de graphène pour un capteur de pression optimum

La fabrication de capteurs de pression peine à obtenir des sensibilités élevées aux petites échelles. Cela complique la détection de phénomènes discrets et qui requièrent des mesures exactes, comme le pouls. Pour de telles applications biomédicales, des chercheurs de l’Institut de science et d’ingénierie supramoléculaires (ISIS, CNRS/Unistra) et les universités Adam-Mickiewicz de Poznan en Pologne et de Florence en Italie ont développé un capteur extrêmement sensible, basé sur des molécules agissant comme des ressorts, intercalées entre des feuilles de graphène. Ce dispositif, présenté dans la revue Advanced Materials, offre une sensibilité, un coût et une flexibilité adaptés à la surveillance de la santé et au diagnostic médical.